Il dit aussi en associant Arène à son choix : "ce sont des poètes qui peignent la vie réelle en lui prêtant les couleurs des rêves".
Il a remarqué aussi Denise Bourdouxhe (seule femme exposante), puis il cite Bergéo, Boucher, Daboval, Louis Pons, Fontana, Deveze ...
"Artiste d'une extrême modestie, d'une intelligence exceptionnelle, d'une sensibilité absolue qui fait partie de deux ou trois leaders de l'actuelle jeune peinture particulièrement brillante depuis quelques années".
"Il est le premier dans sa ville et dans sa région provençale après un travail façonné par sa puissance."
"En dépit de sa modestie et de son sens du travail en équipe, son nom a été prononcé un peu à la manière de certains sportifs qu'être le meilleur est chose naturelle. Il ne s'est pas enclos dans les modes de travail en usage à Marseille. etc ..."
Le charmant Vincent Roux lui avait envoyé un télégramme et une lettre de félicitations.
Ce prix était suivi d'une sélection des meilleurs pour participer au "Prix Drouant-David", onze peintres, Adilon, Altmann, Anfosso, Cambrier, Fornel, Lachieze, Marze, Nalzenh, Rey, Roualdes, c'est encore Trabuc qui a eu le premier prix et une exposition personnelle à la Galerie de Seine à Paris.
Les peintres qui avaient eu le prix de la Jeune Peinture ont continué à exposer à Nice, mais hors concours, dont Pierre Anfosso, James Coignard, André Cottavoz, Jean Fusaro, Monique Giresse, Emile Marze, Robert Mendoze, Franz Priking.
Ainsi, ils ont participé en 1959 à l'exposition "Jeunes Peintres Méditerranéens et Milanais" où Louis Trabuc a présenté sa toile "Buissons et Chardons" avec le nouveau et talentueux Robert Vernet Bonfort qui a obtenu à son tour le "Prix de la Jeune Peinture" (Théo Tobiasse deuxième).
Un journaliste les a associé dans ses critiques, en disant : En 1956, aux "Deux Garçons" sur le Cours Mirabeau à Aix en Provence, nouvelle exposition du groupe Arène, Beaurepaire, Bourdouxhe, Boucher, Daboval, Louis Pons, Vincent Roux et Trabuc.